Grand concours K-lidja
M. Edouard Ladur, chef de la Kommandantur des Belles Lettres et du Bon Goût Français, a mutilé de ses ciseaux implacables et vengeurs le dernier poème symphonique de l’incontournable groupe K-lidja.
Pour aider tes amis (et gagner en plus le grand concours K-lidja !) c’est très simple : il te suffit de retrouver les mots censurés et de les renvoyer au groupe, dans l’ordre de disparition, par le biais que tu veux (commentaire sur ce blog ou sur celui de Passe-Temps, mail, lettre anonyme, etc.) et tu gagneras (peut-être !) un single du titre mis à l’index dont les --- seront remplacés par tes mots à toi !
Vacheti super, comme concours, je vous sens déjà frémir devant vos écrans, bande de petits veinards !
Voici donc le texte incriminé :
Chaque matin
Chaque matin je retirais la couette pour qu’elle se lève
Chaque matin elle me souriait
Chaque matin sa --- éclaboussait la chambre
Chaque matin
Chaque matin elle se retournait
Chaque matin elle se cambrait
Chaque matin elle tendait vers moi son --- affolant
Et moi je regardais sa --- se tendre à éclater
Chaque matin
Chaque matin son --- ébloui renaissait
Chaque matin son --- saluait le jour
Et moi je sentais ma --- se ---
Chaque matin
Chaque matin elle se retournait
Chaque matin elle me souriait
Chaque matin ses --- se dressaient vers le ciel
Chaque matin son --- hébergeait le soleil
Et moi je regardais mes yeux couler entre ses ---
Chaque matin
Chaque matin elle se levait.
Chaque matin elle descendait dans la cuisine prendre son café
Chaque matin
Et moi j’écrivais des chansons d’---
Chaque matin
C’est beau, hein ? On dirait du Barbelivien avec du poil autour.
Et pour vous aider encore plus mieux à gagner, voici même la chanson censurée en personne, avec un son ignoble pour que ce soit encore plus dur :
Allez, au boulot bande de feignasses, je relève les copies dans deux semaines,
F.